Salon Orange Mandarine

LVous cherchez des couleurs pour pimenter les choses? Ensuite, allez avec des nuances d’agrumes. C’est l’approche que Mary Leigh a adoptée pour la troisième version de ce salon. Avec un dernier clin d’œil à la peinture chérie, elle a incorporé toutes sortes de nuances alléchantes – mandarine, citron, citron vert et brun coco – rendant cet espace festif et amusant. Même les mêmes meubles prennent une apparence renouvelée lorsqu’ils sont associés à cette palette tropicale. En outre, un mélange de textures intéressantes insère leur propre talent. De la soie au kilim en passant par le varech et le bambou, ces tissus et matières se mêlent à cette cure de jouvence.

Sans aucun doute, la couleur vibrante du mur constitue le principal attrait de cette version. Pour cette raison, il n’est pas nécessaire d’aller trop loin avec des accessoires. “Les murs exigeant une telle attention, je voulais que tout le reste soit propre”, explique Mary Leigh. Elle a donc conservé tous les autres éléments – oreillers, housses, lampes, revêtements de sol et accessoires – simples et épurés.

Au-dessous du tableau, des lampes en verre clair, surmontées de nuances de boîtes monogrammées, permettent à la couleur des murs de lire. Pour équilibrer cet arrangement, de grands peuplements de fer ont été placés de chaque côté de la table. En dessous, une paire de tabourets en roseau tressés est surmontée d’oreillers à rayures vertes et dorées..

Des coussins assortis de mandarine et d’autres teintes d’agrumes unifient le revêtement en coton, tandis que le tapis d’herbe de mer constitue le juste milieu entre le tissu neutre et les pièces de bois teintées plus foncées..

Mary Leigh a fait fabriquer une housse en soie à carreaux pour la chaise pantoufle, qui contient toutes les couleurs utilisées dans la pièce. Un oreiller jaune citron vif ajoute une touche finale. Se souvenant de son vœu d’une approche simple et propre, elle a opté pour aucun rideau. “Après tout,” explique-t-elle, “pourquoi faire un travail supplémentaire quand la couleur du mur parle d’elle-même?”